Le cadre résolument authentique du village de pêcheurs de Baie du Cap, avec son étendue azur vers l’horizon et sa nature tropicale en toile de fond, est l’incarnation de la simplicité.
À mi-chemin entre Le Morne et Bel Ombre, sur la colline de Baie du Cap, se niche un projet immobilier exclusif avec un village intégré… De ses 15,4 hectares – animé par divers commerces et restaurants ; et ponctué d’espaces de détente, de rencontre et de partage –, Anbalaba Village promet une réelle douceur de vivre. La livraison de la première villa s’est faite en mai !
Au-delà de sa beauté naturelle, ce domaine conjugue intimité et intégration parfaite au sein de la commune de Baie du Cap. En parallèle de l’importance particulière portée à la préservation des espèces endémiques de l’île – comme l’illustre sa pépinière tropicale –, Anbalaba travaille avec l’association Développement, rassemblement, information et prévention (DRIP) pour mettre en place une plateforme communautaire et accompagner les villageois dans leur autonomisation, tout en faisant la promotion des talents locaux.
De magnifiques éco-villas
Accessible aux Mauriciens comme aux étrangers, la première phase du projet immobilier comprend cinq villas au concept green, nommées Pomelo. Avec une architecture contemporaine, ces villas trois chambres de 246 m2 avec salle de bain en suite sont nichées chacune au coeur de leur propre jardin tropical avec piscine. Leurs espaces sont conçus pour s’épanouir en famille dans un cadre aussi convivial que confortable.
C’est dans un respect total de la nature environnante, en accord avec les valeurs écologiques et éco-énergétiques d’Anbalaba, que la construction des villas a été menée. Parmi les initiatives phares : l’installation d’un toit végétal pour l’isolation thermique et phonique de la villa et améliorer la qualité de l’air, mais aussi la gestion des eaux pluviales, et la préservation de la biodiversité à travers sa pépinière
Pour une évasion quotidienne au coeur d’un environnement paradisiaque parfaitement préservé… Cap vers le Sud, c’est en bas, là-bas, que ça se passe !