Le complexe hôtelier LUX* Le Morne Resort a gagné la bataille contre le gaspillage alimentaire ! Ce fleuron du luxe de l’île a encore une fois consolidé son engagement en matière de développement durable en décrochant le prestigieux label de « The Pledge on Food Waste » avec la plus haute distinction : « The Pledge all Star ». Un bel exemple à suivre pour que notre île demeure encore plus verte et durable.
Décerné par la compagnie The Pledge on Food Waste de Singapour, ce sacre vient renforcer la démarche de Zero Food Waste, mise en place depuis 2018. C’est après une formation technique intensive de six mois sur la gestion et l’optimisation des déchets alimentaires dispensée par LightBlue Environmental Consulting que LUX* Le Morne Resort a légitimement obtenu cette glorieuse certification internationale.
Refuse… Reuse…Recycle…
« Au sein de LUX* Le Morne Resort, nous sommes bien décidés depuis longtemps à faire la guerre au gaspillage alimentaire. Nous prônons un engagement Zero Food Waste (refuse, reuse, recycle), c’est-à-dire que rien ne doit aller à la poubelle ! Cette formation nous a permis d’obtenir tous les outils et le savoir nécessaires pour consolider notre objectif. De plus, cette certification reconnue par l’ONU nous aidera à mieux promouvoir cette cause auprès de nos clients », souligne Jérémie de Fombelle, directeur général de LUX* Le Morne Resort.
Zéro déchet alimentaire
Le programme de LightBlue Environmental Consulting, requiert que les participants répondent à pas moins de 95 critères pour une gestion optimale des déchets. LUX* Le Morne Resort les a tous brillamment réussi. Cela lui a non seulement permis de décrocher les mentions honorifiques « The Pledge all Star » mais aussi de briller dans les catégories « Plus grande réduction des déchets alimentaires par couvert », « Plus grande réduction du total des déchets alimentaires et réduction en équivalent CO2 » et « Zéro déchet alimentaire dans les décharges ».
The Pledge on Food Waste fut lancé à Maurice pour réduire le gaspillage alimentaire et les émissions carbone de 30 % d’ici 2030 afin de mieux répondre aux objectifs de développement durable des Nations unies.
